Diderot, Jacques le fataliste et son maître
Autant je suis peu sensible au ‘Neveu de Rameau’, autant j’aime ‘Jacques le fataliste’. Le mal cousu du premier devient fantaisie, l’échevelé devient exubérance, les digressions deviennent des aventures en poupées russes reliées par l’idée juste que la vie est sans cesse mouvement et que l’homme sage la prend comme elle vient, en profite et … Lire la suite Diderot, Jacques le fataliste et son maître
Copiez/collez cette adresse web dans votre site WordPress pour l’inclure
Copiez/collez ce code sur votre site pour l’y intégrer