« Homme libre, toujours tu chériras la mer ! » s’exclamait Baudelaire dans un poème célèbre.

Les gamins en premier, qui adorent l’eau et se baigner, nager. Mais les ados aussi, mâles et femelles.

« Tu te plais à plonger au sein de ton image ; Tu l’embrasses des yeux et des bras, et ton cœur », dit encore le poète qui avait gardé une âme d’enfant.

Rien de tel que plonger nu, ou avec le slip minimum conseillé. La peau goûte de toute sa surface l’onde fraîche, les muscles se raidissent à sa gifle.

La mer est un cocon, un ventre maternel, un liquide amniotique. Nager permet de retrouver la paix initiale, celle des premiers instants de la vie.
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