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Passerelle des arts sans cadenas

La Mairie l’avait promis, la Mairie a fini par le faire… en traînant les baskets : les cadenas d’amour ont été « remplacés » par… des tags.

paris pont des arts 2015

Un panneau pédago-démagogique « explique » que le poids de votre amour est dangereux pour la « sécurité » et dégrade « durablement le patrimoine » – sécurité, durable et patrimoine sont trois mots-clés du discours écolo-socialiste à la mode franco-française (pas sûr que les étrangers, asiatiques ou anglo-saxons comprennent ces « raisons »).

paris pont des arts 2015 poids de votre amour

Est réitérée (cela fait maintenant deux longues années) la « promesse » de remplacer les grilles cadenassées par des panneaux vitrés. Pour le moment – en pleine saison touristique commencée – ce sont d’immondes tags à la Jack Lang qui « illustrent » l’art de celle qui se voudrait la « plus belle ville du monde ». Jugez-en : du français écrit à l’envers en anglais – pour vanter l’amour inverti ?

paris pont des arts 2015 anti love

Des peintures dégoulinantes de cadenas virtuels sur contre-plaqué.

paris pont des arts 2015 art hidalgo

Et comme le tag appelle le tag, un malicieux demande sur ces « œuvres d’art uniques » « où sont les cadenas ?« 

paris pont des arts 2015 ou sont les cadenas

Enfin toute série d’illustrations du Paris-poubelle vu par le socialisme à la mode qui sévit dans le service Cul(ture ?) à la Mairie.

Paris-les-chiottes accueillant le touriste mondialisé.

paris pont des arts 2015 paris poubelle socialiste 1

Paris-ivrogne affalé sur un banc salopé.

paris pont des arts 2015 paris poubelle socialiste 2

La tour Eiffel qui retrousse ses échasses pour éviter la merde que répand le socialisme réalisé par la municipalité.

paris pont des arts 2015 paris poubelle socialiste 3

Toute une conception du monde… particulière, dépréciative et coupable.

Que dire aussi de l’amour à la socialiste ? une clé-bite de cadenas enfilant des fesses cadenassées, tout un symbole homo cher quelques-uns des quelques 3600 collabos-rateurs de la direction des Affaires culturelles de la Ville de Paris dirigé aujourd’hui par l’outé Bruno Julliard sous Anne Hidalgo, après Christophe Girard sous Bertrand Delanoë. Je n’ai rien contre « la culture homo » de la fesse et du tag, mais enfin est-ce représentatif de la ville ? Est-ce l’image que la France donne au monde ? N’est-ce pas plutôt une « transgression » dans le vent par l’Hââârt primaire conceptuel, cher aux petits-bourgeois socialistes, dans des lieux consacrés par la Tradition, chère aux grands bourgeois républicains ?

paris pont des arts 2015 porno socialisme

La culture dans le vent, branchouille et démago, qui agite ces socialistes parisiens, eux qui n’ont plus grand chose d’utile à dire pour la cité et dont la belkacémite sévit au même moment à l’éducation, n’est-elle qu’imitation de la sous-culture newyorkaise ? Une imitation scolaire du spontanéisme d’ignares issus d’un pays dont l’histoire ne remonte qu’à deux siècles ? Une prosternation servile envers le grand modèle impérialiste américain qui impose l’abêtissement pour mieux faire circuler le fric ? J’ai honte au socialisme devant ce suivisme homo-potache, honte à la Ville devant ces tags élevés au rang de grandes œuvres d’art de l’inanité, honte à la lâcheté française devant la sous-culture contente d’elle-même.

« Une œuvre d’art a-t-elle toujours un sens ? » planchaient il y a quelques jours les bacheliers S : – oh oui ! elle dit l’universel humain dans le particulier qui œuvre, ici le stade anal et la régression infantile de ceux qui se proclament artistes.

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