Nous nous installons, cinq filles et moi, dans un restaurant à l’écart de la place principale, le « 1739 ». Nous sommes en terrasse, devant les gens qui passent dans la rue dévolue surtout aux piétons.
De nombreux touristes européens déambulent dans cet endroit chargé d’histoire et de pittoresque préservé par un demi-siècle de couvercle socialiste.
Les terrasses sur la place sont bordées de parterre de fleurs. Tout est riant, voué au plaisir des sens et de la vie bourgeoise : boutiques, boissons, bouffe.
La nourriture est banale, bien présentée sur l’assiette mais aux prix européens, sauf la bière aux 50 cl à 3€.
Une voiture de police effectue une ronde à petite vitesse toute les heures, des musiciens ambulants jouent, quêtant des pièces.
Au-dessus d’un toit, un chat fait le gros dos, pas girouette, comme s’il veillait sur les habitants.
La jeunesse sort en tee-shirt bien que la température baisse à 18° en soirée. Les deux garçons nous rejoignent, ils sont allés se promener tout seul et ils nous quitteront avant le retour à l’aéroport pour quelqu’un à voir.
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