Articles tagués : poisson cru

Sashimi de thon tahitien

Un délice d’été, à servir bien frais avec un bol de riz blanc en plat principal ou tel quel en entrée, avec un vin blanc ou rosé.

Ingrédients :

Pavé de thon surgelé selon le nombre de convives et selon qu’il s’agit d’un plat principal ou d’une simple entrée. Achetez le poisson cru surgelé par un professionnel pour éviter le parasite anisakis simplex : la congélation 24 h au moins à -20° c. suffit pour le tuer. Évidemment, les Tahitiens le mangent cru tout frais pêché…

Le couper encore surgelé en tranches fines, puis laisser décongeler au frigo.

Servir sur du chou cru râpé, accompagné de carottes ou de navet râpé, éventuellement quelques tomates cerise.

Les Japonais mangent le sashimi nature, sur du riz gluant avec un peu de raifort, mais les Tahitiens réalisent une sauce délicieuse :

Hiata de Tahiti

Catégories : Gastronomie, Polynésie | Étiquettes : , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , ,

Ouverture du four tahitien

Les heures se sont écoulées, chacun a vaqué à ses occupations, et tout le monde est de retour pour assister à l’ouverture du four tahitien.

ouverture du four tahitien

On démaillote le gros bébé. Et voici qu’apparaissent les cocotes, les plats, les bananes, les fei, les têtes de poisson, l’uru cuit.

plats cuits bananes et poi

Les têtes de poisson sont très surveillées car les Polynésiens adorent les yeux (un délice dit-on), et tout ce qui constitue les têtes de thon et autres gros poissons, il paraît que c’est le summum. Tandis que je tentais quelques photos, j’étais très surveillée… finalement j’ai rassuré les guetteurs et guetteuses en leur confirmant que je les leur laisserai toutes sans y toucher, je ne faisais que des photos !

tete de poisson

Il est temps de se trouver une place à table et d’aller se servir, le choix est vaste, les appétits tahitiens féroces.

uru cuit

Poisson cru, bananes et fei.

poisson cru

Poulet macéré aux légumes.poulet marine

Ou poulet au carry fafa (tiges de taro, un peu les épinards à la crème des Popa’a.

fafa

Le fafaru (poisson cru macéré dans l’eau de mer avec des têtes de crevettes).

fafaru

Il devait y avoir des Chinois parmi les invités car voici un dessert chinois, bien rouge.

dessert chinois

Du poe des fei encore une autre sorte de poe (dessert tahitien).

poe
Tama mai ’tai comme l’on dit ici (Bon appétit).

Les plats étaient très copieux, les gens ont « bouffé » et à la sortie du repas ont réclamé ce qui n’avait pas été consommé pour emmener à la maison. Ainsi se termine un repas pantagruélique ici au fenua. Les plus organisés viennent avec des boîtes en plastique, les autres s’emparent de tout ce qui peut servir à emporter du ma’a…

poi

A votre tour maintenant, c’est le temps des barbecues, non ? La cuisson au four tahitien est, à mon humble avis, préférable au barbecue – mais à chacun ses goûts ! Les ingrédients, pour Paris et sa périphérie, vous devriez les trouver au marché du métro Barbès.

Hiata de Tahiti

Catégories : Gastronomie, Polynésie | Étiquettes : , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , ,

Découvrir l’île de Rimatara

En ce samedi matin, le petit déjeuner expédié, nous partons à pied découvrir l’île à commencer par la grotte de Teruatave située en bordure de la piste d’aviation. Désolée, impossible pour moi de ramper par une ouverture de 90 cm x 90 cm avec le poignet gauche fracturé. Il vous faudra imaginer deux colonnes en pierre, une banquette en pierre taillée ainsi que des stalagmites et des stalactites dans une pièce de 3 m de hauteur et de 4 m de largeur. « Des sauvages cannibales vivaient dans cette grotte et aimaient manger les enfants. Certains enfants disparaissaient et n’étaient jamais retrouvés ! Les habitants du village n’étaient plus des cannibales et se demandaient qui était l’auteur de ces crimes. Un jour l’auteur fut surpris : c’était une des dernières femmes sauvages qui mangeait toujours de la chair humaine. Elle se réfugiait toujours dans cette grotte d’accès difficile. Les villageois l’ont attirée et capturée à l’aide d’un filet. On l’apprivoisa puis on la civilisa. Elle fut baptisée Pufenua (placenta), et ne mangea plus de viande jusqu’à sa mort ». Toutes les grottes de l’île ont toutes des histoires de cannibales.

GROTTE DE TERUATAVAE

Nous escaladons maintenant le Pito Oromana (le nombril de Rimatara). Pas nécessaire de s’embarrasser de cordes de rappel, piolets et autres, la hauteur maximale est de 8 400 centimètres comme le clament les Rimatara! Des pamplemoussiers ont été plantés par le SDR (Service de développement rural) et sont chargés de fruits délicieux, de quoi nous rafraîchir avant d’atteindre le sommet. Ce pito est situé au centre de l’île. De là-haut on voit toute l’île en un seul coup d’œil. Dans les temps anciens on y enterrait le placenta de l’enfant royal qui venait de naître. Cet emplacement de 2 m de côté serait la tombe du Roi Temaeva. Cet emplacement est sacré et tapu (tabou). La plus haute pierre indique le partage de l’île en deux, et l’on trouvera plus bas sur la route de ceinture une autre pierre dans un enclos et plus loin dans la mer un feo. En joignant ces points l’île de Rimatara est séparée en deux. La légende dit que tout incendie survenant dans la montagne n’atteindra pas le pito de l’île.

RIMATARA stèle commémorative

Nous redescendons au milieu de cocotiers… attention à ne pas circuler dessous car il fait du vent ! Baron, le chien, nous précède et trace le chemin. Nous sommes attendus pour le tamaara’a sur la plage et c’est du sérieux ! ici comme partout en Polynésie le ma’a est très important : cœur de cocotier récemment abattu (rien à voir avec les cœurs de palmiers en boîte), IPO (pain) cuit dans des feuilles de auti (Cordelyne fructicosa), uru (fruit de l’arbre à pain) tapé avec du punu pua’atoro (boîte de singe), du poulet aux aubergines, du ma’a tinito (cuisine chinoise) avec du riz, du poisson cru à la Rimatara, des pahu’a (bénitiers), pastèque. Tout est sur la table, il suffit de se servir. Les mouches, heureuses de cette prolifération de plats, nous accompagnent par régiments entiers ! Nous rentrerons en fin d’après-midi à la pension où le dîner oui, oui, encore du ma ’a, consistera en une salade de crevettes au pamplemousse et cœur de coco, suivie d’une loche à la vapeur avec du riz et un fei (banane de montagne) avec de la glace au coco. C’est impossible de tout manger mais pour les Rimatara ce n’est pas la même chose. La nuit sera venteuse, pluvieuse.

RIMATARA EGLISE ADVENTISTE

C’est dimanche il a plu toute la nuit, il a fait du vent toute la nuit, masquant les bruits des tupapa’u (personne défunte qui vient tourmenter les vivants) qui allaient et venaient dans notre bungalow. J’ai même l’impression qu’ils ont pris une douche dans la salle de bains ! Ce matin, un brunch était prévu. Impossible, rien que de penser à ce qui pourrait se trouver sur la table j’ai des douleurs au ventre. C’est le programme au temple protestant : 6h30 Première messe. 7h30 Grand repas dans chaque famille, 8h30-9h30 école du dimanche des enfants encadrés par les adultes, 10h-11h grand-messe pour tous, 15h-18h dernier office. Nous ne sommes pas venues pour ‘amu’amu (bouffer) mais pour l’île, les habitants et leurs légendes. Il pleut toujours et les sorties sont compromises. Dans l’après-midi, une éclaircie nous permet de mettre le nez dehors. Nous apercevons des ura en grand nombre et nous marchons jusqu’à Amaru où nous irons saluer les habitants du cimetière royal. Même s’il n’y a plus de roi, il est impératif d’aller se recueillir devant les tombes des dignitaires, histoire de ne pas avoir de mauvaises visites cette nuit. C’étaient probablement les messages des tupapa’u qui nous avaient visitées la nuit dernière. Il est temps de parler du ura.

Lori de kuhl polynesie timbre

Le ura ou lori de Kuhl est une perruche endémique de 18 cm de long qui appartient à la famille des loris. Ura veut dire rouge en tahitien. Son plumage est vert, jaune, rouge clair, rouge foncé, violet, une longue queue vert-rouge, un bec jaune foncé et des petites pattes jaunes grâce auxquelles il peut s’agripper aux branches des arbres fruitiers. Ses repas ? Le suc des fleurs, le nectar des fleurs de bananiers. Il se déplace en couple, signale sa présence par un sifflet strident et aigu. Il est présent partout dans l’île. D’après Teura Henry « le vini-ura, perroquet siffleur de Rimatara (Iles Australes) au plumage rouge, jaune, bleu et vert était l’émanation du dieu Ta’aroa » (Tahiti aux temps anciens, p.396).

Voici la légende du Ura de Rimatara : « Autrefois, il y a très longtemps, la marouette Moho était l’oiseau le plus beau de tous ceux qui peuplaient l’île de Rimatara, et tous l’admiraient pour ses couleurs chatoyantes. Son plumage était multicolore, rouge, bleu, vert, jaune… La perruche Ura était grise et terne. Personne ne l’appréciait malgré ses cabrioles dans les fleurs de bananiers et ses sifflements aigus. Le Ura devint triste et jaloux du Moho : sa beauté l’obsédait, il fallait qu’il obtienne d’aussi belles plumes que celles de son rival. Comment s’emparer des couleurs du Moho, toujours en éveil ? Il fallait ruser et profiter d’un moment opportun. Guettant le bel oiseau, le Ura attendit que celui-ci s’endorme pour sa sieste pendant les heures chaudes de la journée. S’approchant sans bruit il commença par s’emparer du vert des ailes, puis s’enhardissant il subtilisa le jaune du dos. Le Moho ne bougea pas. Il lui prit le rouge de la poitrine. Puis il lui vola le bleu de la tête. Mais alors qu’avant d’en finir avec l’orange des pattes, il voulait prendre la couleur rouge des yeux, le Moho (Porzana tabuensis) sentit le bec du Ura sur sa paupière et se réveilla brusquement. Il vit ce qui lui était arrivé et, se trouvant honteux sans son magnifique plumage, fila se cacher dans le marécage. Depuis ce jour, le Moho gris, qui a gardé son œil rouge et ses pattes oranges, ne se montre plus aux autres animaux et reste terré sous les hautes herbes ne sortant qu’au crépuscule – pendant que le Ura batifole haut dans les branches piaillant à tue-tête pour attirer l’attention et faire admirer sa beauté ».

RIMATARA PITO DE L ILE 8 000 CM

Les anciennes parures des chefs Polynésiens étaient autrefois en grande partie réalisées en plumes rouges de Ura, cette espèce vivait dans les forêts tropicales des Kiribati, de Polynésie française et des îles Cook. Mais dans l’ensemble de la Polynésie, l’oiseau qui les porte avait déjà disparu à l’arrivée des premiers explorateurs européens au 18e siècle. Il était trop chassé pour ses plumes. Seule l’île de Rimatara, grâce au respect d’un tabu (tabou) édicté par sa défunte reine et ancêtre Heimata Ura Vahine ou Tamaeva V (1893-1923) a pu conserver une population de ces oiseaux aujourd’hui classés « en danger d’extinction » sur la liste rouge de l’Union mondiale pour la Nature. Elle s’était adressée au Ura et lui avait dir « ‘Eiaha ‘ oe e haere fa’ahou i te tahi fenua’e (tu n’iras pas sur une autre île. S’adressant plus tard au ‘Ura vaero (lori mâle) et au ‘Ura pa’o (femelle), elle les supplia : E noho na’orua i ‘onei, tiretire o, tiretire a (vous vivrez ici, vous vous reproduirez encore et encore). Et lors des dernières cérémonies qu’elle présidait, vêtue de sa cape royale en plumes de ‘Ura, elle jure : ‘Aita atu i muri a’e ia’u nei e ‘abu fa’abou i teie ‘abu (personne après moi ne vêtira plus jamais cette cape » (bulletin n° 319 de la S.E.O.). En avril 2007, dans le cadre d’un programme de sauvetage de l’espèce, la Société d’Ornithologie de Polynésie Manu avait réalisé la translocation préparée scientifiquement de 27 loris de Kulh de Rimatara (Archipel des Australes) à Atiu (Iles Cook). Une plaque gravée commémore cet échange.

Hiata de Tahiti

Catégories : Mer et marins, Polynésie | Étiquettes : , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , ,

Acidité de Tahiti

Si vous n’avez jamais eu l’opportunité de gouter les petits citrons des Marquises ou ceux de Tahiti, alors ceci ne vous fera pas venir l’eau à la bouche. Ce fruit est important pour les Polynésiens puisqu’il est indispensable à la préparation du poisson cru. Le Citrus aurantifolia est petit, une peau lisse et fine, une chair verdâtre, juteux, acide et très aromatique. L’Aranui 3, le cordon ombilical qui relie les Marquises à Tahiti décharge toutes les trois semaines les sacs de citrons d’Ua Pou. A chaque voyage c’est près de trois tonnes de citrons que les cales de l’Aranui avalent aux Marquises et régurgitent à Papeete. Ils finiront sur les étals du marché.

citrus aurantifolia

C’est reparti, le sucre de coco ! Feront, feront pas ? L’Indonésie en produit et l’exporte, alors pourquoi pas la Polynésie ! Commerce bio, commerce équitable, allez, foncez ! Mais, il y a un mais, il faut grimper deux fois par jour au cocotier, il faut ensuite saigner la spathe (fleur de cocotier à peine ouverte) de manière précise. Les rendements en Indonésie sont de 300 à 600 g de sucre complet par cocotier et par jour. La variété cultivée en Polynésie, Cocos nucifera, est tout indiquée pour ce type de production. Il manque peut-être la volonté gouvernementale ou quelque autre volonté. Le coprah, subventionné à outrance pourrait être remplacé par le sucre, 100% bio dans lequel on glisserait une gousse de vanille de Taha’a, les ventes sur Internet exploseraient… Ce produit a un faible pouvoir glycémique, une teneur élevée en antioxydants, tout pour alimenter les diabétiques et toute personne soucieuse de sa ligne. On attend quoi ?

Papara a de gros problèmes d’eau. Les habitants réclament auprès de la mairie. Le ton monte et l’eau n’est toujours pas présente aux robinets. L’abattoir territorial sera privé d’eau par le maire de Papara. Plus de 70 porcs n’avaient pu être abattus à cause de ce manque d’eau, le maire ayant pris la décision de fermer la conduite d’eau de l’établissement, estimant qu’il ne figure pas dans le registre des abonnés du réseau hydraulique de la commune. On s’était rendu compte que l’abattoir avait une alimentation en eau pirate, qu’il était hors du réseau de la commune puisque connecté bien en amont du bassin de la Papeiti. Ah ! les coquins… Et à Papeari alors ? Nous valons moins que les porcs ?

roi pakumotu

Le roi Pakumotu Athanase Teiri s’était invité à Outumaoro avec ses sujets pour réinvestir le terrain qu’ils occupaient il y a peu encore. Mais, le comité d’accueil n’était pas à la hauteur de ses espérances : police, gendarmerie. N’ayant pu accéder à « ses terres », le vrai-faux roi qui souhaitait lever ses bannières et drapeaux pour célébrer l’anniversaire de son couronnement, a vainement tenté de négocier. Évidemment, bien que la trentaine de gendarmes n’ait aucun pouvoir sur lui (c’est le roi qui l’affirme), le roi a souhaité, avant de se retirer avec sa cour, faire une déclaration à sa nation. La mise en circulation, dès ce moment, sur les marchés financiers, d’un milliard de patu, la monnaie pakumotu (1 patu vaudrait 145 XFP). Il parait qu’à Wall Street on se masse le cervelet ! Autre annonce de taille, sur décision du roi, « toutes les dettes, emprunts bancaires et même condamnation en justice sont désormais effacés ». Heureux anniversaire, Majesté !

Hiata de Tahiti

Catégories : Polynésie | Étiquettes : , , , , , , , , , ,

Nouvelles de Tahiti

Retour au bercail parisien après un petit tour en France pour y prendre la température. Beau temps. Rencontré quelques rares amis, trinqué avec eux au vin de Rangiroa, dégusté un poisson cru à la tahitienne et un autre à la chinoise, une sortie au théâtre, revu mes anciens collègues bénévoles du Secours populaire, léché quelques vitrines, fait chauffer la carte bleue, retrouvé mes potes à Montpellier le temps d’apprendre que l’homme-femme de l’immeuble avait encore caillassé les fenêtres d’une voisine… un programme chargé d’un exotisme très français !

Le voyage de retour ? Peu de monde dans l’avion entre Paris et Lax, mais à Lax les Polynésiens emplissent l’avion. Ils sont allés faire leurs achats à Los Angeles, les autres étaient à Las Vegas dans l’enfer des jeux. Arrivée à Papeete, toujours le même bazar, des douaniers de plus en plus tatillons  mais bon, c’est leur fonction.

Ici, c’est toujours le même théâtre joué par nos politiques. On sort l’un, l’autre rentre et c’est toujours la même chanson. Aucune amélioration en vue, sauf que les maroquins ont changé de mains, que les taxes augmentent, que le trou de la CPS (la SS locale) est toujours là ! Les super-égos se lâchent… pour le méga-procès des emplois fictifs, délibéré le 4 octobre. De quoi laisser le temps aux vacances de passer par là. Il fait bon vivre sous le soleil polynésien !

Le plan de redressement est prêt, alors entre fusion, suppression, renforcement, réorganisation, dissolution, fusion absorption, transformation/suppression, fusion, il semblerait que le gouvernement ait utilisé tous les synonymes figurant au dictionnaire. Attendons pour voir le résultat !

Vers la fin juin, Assises du service public : beaucoup de constats et de généralités, peu de propositions d’actions concrètes. Aucun membre du gouvernement de la Polynésie ni aucun représentant à l’Assemblée n’y a assisté !

A Taravao, premier crématorium de Polynésie française. Actuellement, la famille de ceux qui souhaitent se faire incinérer à leur décès doit aller en Nouvelle-Zélande pour satisfaire le désir de leurs proches. Il faut débourser 780 000 fcp pour ce faire – ce qui n’est pas à la portée de toutes les bourses. Ce crématorium sera construit sur un terrain d’un hectare à Taravao y compris l’aménagement d’un jardin des souvenirs. Mais on attend… Quoi ? Ben le permis de construire !

Sur Tahiti Pacifique, dans le fiu de Beslu, j’ai lu : « Notre cher Oscar qui prête toujours une oreille compatissante aux plaintes des anti de tout bord a simplement déclaré qu’il était urgent « d’élaguer le mammouth » sans préciser quelles défenses de celui-ci il comptait vraiment couper (?). Et il est sûr que l’on va avoir à souffrir encore longtemps des divagations et des supputations de ces délirants groupements. »

Mais dans les télécommunications, rien n’est perdu : Viti débarque pour concurrencer Mana (web).

Portez-vous bien les amis, profitez bien de vos vacances.

Hiata de Tahiti

Catégories : Polynésie | Étiquettes : , , , , , , , , , , , , , , , , ,