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Claude Mauriac, Le dîner en ville

Lorsqu’on est fils d’un célèbre, la maxime est de ne jamais faire comme papa. François Mauriac écrivant des romans classiques d’un style classique, fiston premier (mort en 1996 à 81 ans) écrira des non-romans dans un style révolutionnaire. Tel est ce Dîner en ville où l’assistance est quand même composée telle que les dîners de papa, et dans un lieu – le quai de Béthune sur l’île Saint-Louis à Paris – qui ne se situe pas ailleurs que dans la classe bourgeoise de papa.

L’assistance n’est pas douze, comme les apôtres prisés du père, mais huit pour assurer la diversité. Le « plan de table » alterne une femme, un homme, et est présenté en schéma dessiné au début du livre. Nous subodorons déjà que le roman va tourner en rond. Nous sommes en automne, saison mélancolique, et chacun soliloque en observant les autres, écoutant (et critiquant) des bribes de conversation futile. Chaque paragraphe saute de l’un à l’autre, ce qui donne le tournis et tente – à la manière du Nouveau roman – de « casser » les codes. En se mordant la queue.

L’exercice de critique littéraire ne vise pas à détailler les points techniques ni à traquer les fautes historiques – c’est là fonction d’ingénieur et non de littérateur, chacun son métier. La « cuisine » littéraire n’intéresse que les auteurs et les universitaires, pas les lecteurs. Ce qui compte est le roman comme totalité. Car la forme contribue au fond pour intéresser l’être humain. Lorsque nous prenons un livre, nous nous demandons à chaque fois s’il va décrire, faire palpiter, édifier ; si nous allons nous y reconnaître ou en apprendre un peu plus sur les autres ; si nous allons nous divertir ou ressentir une émotion, être appelé à penser ou à nous ouvrir sur l’inconnu. Or écrire comme Claude Mauriac un « roman » sous la forme d’un journal formé de bulles de souvenirs de l’un à l’autre et de remarques en cercle reste d’une platitude sans espoir.

Malgré le prix Médicis donné en 1959 au livre, c’est en effet bien ennuyeux… Comme tout le Nouveau roman d’ailleurs. Ce fut une expérience, mais aussi une impasse. Elle a détourné de la littérature tout une génération de lecteurs, laissant les écrivains médiocres tenir le haut des ventes – ce qui demeure tant semblent isolés et rares les auteurs français qui ont encore quelque chose à dire d’humain sur l’humanité. Nous sommes bien loin de la tradition anglaise ou italienne, par exemple, qui ouvrent sagement de nouvelles voies sans rupture pseudo-révolutionnaire pour se poser entre intello-progressistes. Pauvres mangeurs de grenouilles vaniteux qui se croient toujours plus gros que le bœuf !

Le dîner en ville n’a pas passé les années, comme quoi il ne faut surtout pas se fier aux « prix » littéraires, distribués aux copains selon une subtile politique du prêté-pour-un-rendu entre gens du milieu. L’ex-nouveau roman est bien passéiste. Rien de plus chiant que ces élucubrations de vieilles rombières sur la toilette des jeunes mannequines ou de vieux rombiers sur les seins de jeune servante. Pour le théoricien de l’alittérature, hostile à toute narration classique, il s’agit de projeter simplement le réel sans intrigue ni personnage défini. Un non-soi sans action pour un non-auteur… Après plus de trois-cents longues pages, le dîner s’achève enfin et le roman se clôt enfin au milieu d’une phrase inachevée mais commencée déjà avec des points de suspension.

A fuir !

Claude Mauriac, Le dîner en ville, 1959, Folio 1985, €13.75

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Manuel Vasquez Montalbán, Le prix

Lassé de tout et même de l’espérance, Pepe Carvalho se prend de plus en plus pour Philip Marlowe, comme lui observateur cynique et pessimiste d’une société corrompue. La société est l’Espagne post-franquiste du début des années 1990, bientôt post-socialiste. Car « la révolution » n’a consisté, comme souvent, qu’à remplacer une caste par une autre, les catholiques conservateurs par des sociaux-démocrates affairistes. Scandales et corruption minent le pouvoir.

Quel meilleur portrait de cette nouvelle société que celui du milliardaire catalan Lazaro Conesal, bâtisseur de holding, créateur d’une banque, rachetant à bas prix des entreprises qui battent de l’aile pour les rationaliser ? Il a l’oreille du pouvoir, et surtout les mains avides de tous ceux qui ont un intérêt « objectif » à se hausser du col dans la société. Revanchards, petit-bourgeois, paysans montés à la ville, hommes qui se sont faits tout seul, les socialistes espagnols copient servilement, comme à l’école, l’exemple de leurs aînés européens.

Un jour, Pepe Carvalho est convié à côtoyer ce milieu de près. C’est à Madrid, où le milliardaire doit remettre un prix littéraire richement doté de 100 millions de pesetas dans l’un de ses grands hôtels, le Venice. Il a convié le gratin des lettres et de la culture, le président de la communauté « autonomique » de Madrid (autonome n’aurait-il pas été plus judicieux ?), la ministre socialiste de la Culture en fin de règne, un prix Nobel de littérature espagnole, un éditeur, un vendeur d’encyclopédie, et divers auteurs plus ou moins représentatifs, du jeune poète pédé (ainsi disait-on à cette époque) au puriste qui déteste voir ses livres vendus entre les mains de n’importe qui « pour s’endormir ». Le détective doit ouvrir ses yeux et ses oreilles pour observer les convives car l’hôte se sent menacé.

Il retrouve à Madrid Carmela, un amour fugace de Meurtre au Comité central, survenu quinze ans avant, dont le gamin est devenu un jeune tatoué pédé percé qui a fondé un groupe de rock appelé Dieu nous prend à confesse – fils à la dernière mode, bien loin de l’austère communisme militant de la pasionaria.

Le premier chapitre est succulent, tout de description sociologique acerbe de ce milieu littéraire d’Europe provinciale nouveau riche ! Mais les amateurs d’action peuvent le sauter sans séquelles afin d’entrer dans le vif du sujet. Le soir de la remise du prix, entre caviar (soviétique) et champagne (catalan), saumon (d’élevage) et pan con tomate (paysan), les Importants se la jouent. Ils attendent le verdict de l’oracle, un jury payé à déguster caviar et champagne et à surtout ne rien décider. Seul le maître, Lazaro Conesal, désignera souverainement le lauréat ou la lauréate.

Dans sa suite à l’étage, en attendant la remise du prix, défilent les solliciteurs et les quémandeuses. Il a fait des affaires avec les premiers et a couché avec les secondes, selon le rituel bien rôdé des « affaires ». Tous et toutes ont des raisons de lui en vouloir, d’autant qu’il vient d’avoir un entretien avec le président de la Banque d’Espagne qui ne lui a pas caché devoir mettre sa banque sous tutelle. Cela sent l’hallali et chacun cherche à se démarquer, à reprendre ses billes. C’est alors que Lazaro Conesal est retrouvé assassiné, en pyjama dans sa chambre, juste avant l’heure du prix.

Personne n’a rien vu, rien entendu, les caméras de surveillance étant déconnectées. Tous ont plus ou moins quitté la salle de réception pour monter dans les étages et forcer l’audience du grand maître. Il s’est empoisonné sans le vouloir avec ses comprimés de Prozac trafiqués par un être malveillant. Qui ? C’est tout le sel de l’enquête, menée par un jeune inspecteur de police intéressant, Ramiro, et le vieux détective alcoolique Carvalho.

Le principal associé de Lazaro a quitté le navire en revendant ses parts et couche avec le fils, Alvaro, un fin jeune homme titulaire d’un master du MIT. Sa mère, vieillissante, jalouse les maîtresses de son mari et se raccroche à son fils : « Tu es la seule chose importante qui me reste » p.365. Lazaro Conesal a fait établir des dossiers sur chacun des requins de la finance qui l’entourent pour mieux les tenir, mais l’un d’eux a fait écrire par un jeune prétendant en lettres un roman transparent qui met en scène le pouvoir de l’argent et du sexe, l’associé d’un milliardaire séduisant le fils de celui-ci. Et « le meilleur romancier et poète gay des deux Castilles » se remémore le mot d’Oscar Wilde : « Chaque humain tue ce qu’il aime » p.365. Entre les intrigues de pouvoir et celles de la jalousie, les motifs de tuer ne manquent pas ! Le lecteur rebondira sur la fin comme la boule d’un billard à trois bandes pour connaître enfin le vrai coupable.

Entre temps, le plaisir de lecture tient à la satire sociale du milieu littéraire madrilène des années 1990 (que le nôtre reproduit à l’envi) et à la virtuosité gastronomique de Carvalho qui goûte plusieurs whiskies et conseille les menus d’un Conesal amené à rencontrer le président de la Banque d’Espagne. Car il croit qu’on ne mange pas la même chose selon son interlocuteur et qu’il faut se préparer par nourritures et boissons à toute épreuve sociale. Pour la littérature, il y a longtemps qu’il a commencé à brûler tous les livres. « Quand je pense que ces petits minimalistes sont montés en épingle et présentés comme l’espoir de la littérature espagnole parce qu’ils pondent un roman de 150 pages où l’on passe son temps à couter des disques et à décrire par le menu une vie idiote et décadente, j’en perds la voix » p.361.

Manuel Vasquez Montalbán, Le prix (El premio), 1996, Points Seuil 2000, 382 pages, €7.60

Les romans policiers de Manuel Vasquez Montalbán sur ce blog

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Martin Amis, Expérience

Martin Amis experience

L’année de son demi-siècle, Martin Amis fils de sir Kingsley Amis et père de Louis, Jacob, Delilah et Fernanda (à l’époque), publie son festival de souvenirs. Trop jeune pour des Mémoires, trop romancier pour un Journal, trop modeste pour une Autobiographie, il préfère l’Expérience de la réminiscence. Un bel objet littéraire qui a obtenu le James Tait Black Memorial Prize, l’un des meilleurs prix littéraires du Royaume-Uni, établi en 1919.

A peu près toute la vie consciente de l’auteur est dévoilée, replacée dans sa famille, son époque et sa subjectivité d’écrivain. Le père est le personnage principal, modèle mimétique que Martin reproduit presque parfaitement : comme lui deux fils à un an d’intervalle, comme lui écrivain de fiction, comme lui divorcé et à nouveau père, comme lui tenté par l’euphorie des adjuvants (cigarette dès six ans, cannabis adolescent, alcool adulte), comme lui muni par l’hérédité de mauvaises dents et, par fonction, traqué par les tabloïds britanniques – la pire vulgarité du monde.

Le livre commence par un dialogue de l’auteur avec son fils aîné Louis, 11 ans, et se termine par une lettre toute fraîche à sa tante « que je n’enverrai jamais, publiée dans un livre que tu ne liras jamais » p.555 – parce qu’elle est morte. La vie, la mort, la transmission, tels sont les thèmes d’Expérience. Le père et ses fils, ses filles, le mari avec ses épouses, l’écrivain tâcheron avec ses livres, ses amis et la littérature. Il y a aussi la fratrie (Philip, frère aîné d’un an et quasi jumeau, Sally la petite sœur et Jaime de demi-frère de vingt ans plus jeune), les cousins (Rob, David) et les cousines (Marian, Lucy), les adultes (Jane, Larkin) et les modèles littéraires (Saul Bellow, Ian McEwan, Julian Barnes et d’autres). Lucy, la cousine, a disparu à 19 ans un soir qu’elle rentrait en bus : elle fut la victime étranglée de Frederick West, le trop célèbre tueur en série.

Martin Amis 1961 en famille

Ce qui donne ces méditations obsessionnelles sur la mort violente d’un enfant, le viol de l’innocence, la pédophilie, la perte des repères, la nudité, le divorce, la paternité ignorée, l’époque. Né en 1949, Martin est un enfant du baby boom et un adolescent de la révolution des mœurs. « Au début de notre amitié, j’étais ébahi de voir David [son cousin] jouer nu sur la plage à Swansea. Ce n’était pas sa nudité qui me surprenait, mais son indifférence. Il se mettait à genoux  pour faire un château de sable, et il creusait, construisait, polissait sans se départir de son sérieux. Je compris que j’avais perdu cette liberté depuis longtemps, depuis bien des étés. Quelque chose était apparu en moi, que lui n’avait pas encore. C’était un villageois, j’étais un citadin. Était-ce la raison ?… » p.204.

Son père a connu « une poule » lorsque Martin a eu 13 ans. Lui et son frère Philip (de « 375 jours plus âgé »), ont vécu quelques mois comme si le monde de l’enfance s’écroulait définitivement, comme si le père les abandonnait, les refusait. « Le divorce : un événement d’une violence inouïe », écrit-il p.378 lorsqu’il l’inflige lui aussi à ses propres enfants. Et puis la vie reprend, le dialogue dans les larmes, l’attachement malgré tout, jusqu’à aller vivre avec lui et sa seconde femme Jane, l’ex-« poule », une parfaite belle-mère, écrivain elle aussi qui a poussé Martin à Oxford. Mais l’absence de père est peut-être plus éprouvante que le père absent. Une fille est née à Martin sans qu’il le sache, il le retrouvera quand elle a 19 ans. Curieuse expérience là aussi.

martin amis 1965 un cyclone a la jamaique

Le lecteur étranger éprouve combien la culture anglo-saxonne protège l’enfance et combien aussi, dès la puberté, le garçon surtout est poussé sans ménagement et sans garde-fou vers le monde adulte. A 13 ans, Martin Amis se sent rondouillard à gros cul, son passage en John Thornton dans le film de Mackendrick, Un cyclone à la Jamaïque, tourné en 1963 (à quasi 14 ans) n’a pas marqué l’histoire du film. Le petit frère de John, le lumineux et plastique Jeffrey Chandler (photo), blondinet sauvage de 11 ans dans le film, est bien plus séducteur. Martin se compare sans cesse à son grand frère – et un an de plus, à cet âge, fait toute la différence. Déniaisé à 15 ans après le siège d’une copine (1964 était un peu tôt pour la révolution des mœurs), sa carrière d’acteur s’arrête là et il entreprend sa mue d’écrivain.

Il n’est facile nulle part d’être « littéraire », ce que les éduquants classent dans une catégorie de seconde zone. Autant les matheux sont sur des rails (il suffit de suivre, d’apprendre et de recracher sans état d’âme – pour le plus grand plaisir des sachants), autant les littéraires, faute de repères précis d’évaluation, apparaissent rêveurs, sentimentaux et paresseux. Ils ont besoin de mûrir et de trouver des modèles, or ces modèles sont extrêmement rares par fonction chez les profs. Martin a eu son père et les ami(e)s de son père, avant ses pairs et les amis de ses pairs. Il est entré à Oxford non sans mal, après avoir épuisé sous lui nombre de « boites à bac » aussi administratives et inutiles que sans âme.

Son « premier boulot » a été critique au Times Litterary Supplement – grâce à l’aura de son père. Il est passé ensuite, émancipé, au New Statesman, organe de gauche plutôt trotskyste. « Je me situais au centre gauche, tendance libertaire », dit Martin p.286 – autrement dit opposé à Kingsley son père, carrément à droite. Son « premier roman » The Rachel Papers publié en 1973 remporte le Somerset Maugham Award, déjà autobiographique faute d’expérience encore de la vie.

martin amis experience ed anglaise

Mais l’existence ne se termine pas à 50 ans, en 1999, année ultime du dernier siècle et année d’écriture d’Expérience. La cinquantaine est le moment d’un bilan à mi-vie, juste après la mort du père. Martin Amis porte son regard critique, avec la noirceur et l’humour qui caractérise son style, sur sa propre existence. Le lecteur (pas trop jeune) est envoûté. Moins parce qu’il a vécu à peu près la même époque que parce qu’il sent ce que l’auteur a mis de lui, ses désirs, ses fantasmes, ses obsessions. C’est bien sûr excellemment écrit, ce que le traducteur a eu le talent de faire passer en français. Avec un index bien utile (rareté littéraire, surtout en France !) et un cahier central de photos choisies.

Martin Amis, Expérience (Experience), 2000, traduit de l’anglais par Frédéric Maurin, Folio 2005, 591 pages, €10.07

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Prix Bel-Ami avec Guilaine Depis

Le Prix Bel Ami récompense l’auteur(e) d’une biographie ou d’un roman retraçant un destin de femme remarquable. Créé en avril 2006 et resté peu connu, de jury uniquement féminin, il veut ratisser large. Aux romanciers et romancières, aux biographes, s’ajoutent cette année les réalisateurs et réalisatrices scénaristes. Tropisme d’époque, il faut absolument faire image. Autre tropisme d’époque, contrer le complot machiste qui imposerait au public de primer un homme.

Si la présidente fondatrice reste Élisabeth Reynaud, le jury se veut « tournant ». Il existe cependant des membres permanentes : Isabelle Alexis, Géraldine Beigbeder, Ysabelle Lacamp. Les invitées sont cette année : Frigide Barjot, Sylvie Bourgeois-Harel, Delphine de Malherbe, Anne-Marie Mitterrand, Olivia Zeltner et Guilaine Depis. C’est pour cette dernière que je publie cette note.

La sélection première est la suivante, assez vaste :

1) dans la catégorie « roman »

  • « Une affaire conjugale » Eliette Abécassis (Albin Michel)
  • « La Mecque-Phuket » Saphia Azzedine (Léo Scheer)
  • « Unica Zürn, l’Ecriture du vertige » Anouchka D’Anna (Cartouche)
  • « La distribution des lumières » Stéphanie Hochet (Flammarion)
  • « Elles vivaient d’espoir » Claudie Hunzinger (Grasset)
  • « A la folle jeunesse » Ann Scott (Stock)
  • « Le Testament d’Olympe » Chantal Thomas (Seuil)

2) dans la catégorie « biographie »

  • « Etty Hillesum, une voix dans la nuit » Cécilia Dutter (Robert Laffont )
  • « Helena Rubinstein, La femme qui inventa la beauté » Michèle Fitoussi (Grasset)
  • « Lou Andreas von Salomé, La femme océan » Michel Meyer (Le Rocher)
  • « Rose Bertin, Couturière de Marie-Antoinette » Michèle Sapori (Perrin)
  • « Gertrude Stein » Nadine Satiat (Flammarion)
  • « Just Kids » Patti Smith (Denoël)
  • « Sur la route de Janis Joplin » Jeanne-Martine Vacher (Jbz Et Cie)

3) dans la catégorie « scénario »

  • « Tournée » de Mathieu Amalric
  • « L’Arbre » de Julie Bertuccelli
  • « Brigth Star » de Jane Campion
  • « Poetry » de Lee Chang-Dong
  • « Angèle et Tony » de Alix Delaporte
  • «  La Comtesse » de Julie Delpy
  • « Women are heroes » de JR
  • « Tout ce qui brille » de Géraldine Nakache
  • « Incendies » de Denis Villeneuve

Le blog du Prix Bel-Ami

Guilaine DEPIS, Attachée de presse de 30 ans, cherche un poste.

Elle a été attachée de presse des Editions Des femmes (livres, livres audio, DVD) et assuré la communication d’Antoinette Fouque. Elle collabore régulièrement à Savoir changer.org, WebTV éducative de Laureline Amanieux, à La Revue avec Suzanne Jamet, au Magazine des Livres (directeur Joseph Vebret), et au Cahier des Livres depuis sa fondation en 2007.

Guilaine a également eu différentes expériences professionnelles dans le milieu politique et syndical, assistante parlementaire au Sénat, chargée d’enquête à la Fédération nationale du bâtiment et à la Fondation pour l’innovation politique.

Elle a un Master Administration du Politique de l’université Paris 1 Panthéon-Sorbonne, et est diplômée de l’Institut d’Études Politiques de Toulouse, « Secteur public ».

Pour tout intérêt ou tout renseignement complémentaire, vous pouvez lui écrire directement.

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